Cher(es) dirigeants (es)
La triste nouvelle d’un poney mort sur le littoral breton m’incite à renouveler un certain nombre d’éléments.
Lorsqu’il y a financement d’une prestation, l’encadrant doit être diplômé et avoir déclaré son activité auprès de jeunesse et sport. Il est évident qu’il doit souscrire à une assurance responsabilité civile.
Le contenu du diplôme d’accompagnateur de tourisme équestre est particulièrement explicite sur les obligations concernant la construction d’un itinéraire, et la sécurisation du déroulement de la journée randonnée ou tout simplement de la balade d’une ou plusieurs heures.
En Bretagne le réseau « Equibreizh » est suffisamment étoffé et balisé pour permettre aux professionnels du tourisme équestre de construire leur itinéraire en toute quiétude.
L’accès aux plages est par endroit soumis à autorisation. Il est donc nécessaire d’en faire la démarche.
Mais il est bien évident que le GR 34 présente par endroit des difficultés inaptes aux chevaux et il leur est donc interdit.
La négligence de certains doit être dénoncée et ne doit pas entacher le sérieux des centres de tourisme équestre aux alentours de Cancale.
D’une manière générale je fais appel à la responsabilité collective afin que l’image et la réputation du tourisme équestre, comme de l’ensemble des activités équestres, ne soient pas ternies.
Vous souhaitant à tous une bonne rentrée, bien cordialement.
Christian BOYER
Président du Comité Régional de Tourisme Equestre de Bretagne